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Biennale 2019

Le process de réalisation

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LA PHASE DE MONTAGE


Image 1 : Montage de l' oeuvre de Yu-Cheng Chou © Blaise Adilon

Image 1 : Montage de l' oeuvre de Yu-Cheng Chou © Blaise Adilon

Image 2 : Montage de l' oeuvre de Pannaphan Yodmanee © Blaise Adilon

Image 2 : Montage de l' oeuvre de Pannaphan Yodmanee © Blaise Adilon

Image 3 : Montage de l' oeuvre de Stéphane Thidet © Blaise Adilon

Image 3 : Montage de l' oeuvre de Stéphane Thidet © Blaise Adilon

Image 4 : Montage de l' oeuvre de Holly Hendry © Blaise Adilon

Image 4 : Montage de l' oeuvre de Holly Hendry © Blaise Adilon

Image52 : Montage de l' oeuvre de Sam Keogh © Blaise Adilon

Image52 : Montage de l' oeuvre de Sam Keogh © Blaise Adilon




La phase de montage de l’exposition est très importante à la Biennale d’art contemporain de Lyon, en effet la plupart des œuvres sont créées spécifiquement pour cette édition ! Tout l’été, une soixantaine de techniciens, telle une véritable fourmilière, ont œuvré à la construction et à la mise en place de celles-ci. Souvent monumentales, elles demandent du temps, de l’expertise et un travail méticuleux afin qu’elles correspondent à la vision des artistes. Le montage est donc la consécration d’un long travail artistique et technique qui se doit de mettre en valeur les œuvres tout en respectant de nombreuses normes de sécurité afin d‘accueillir les visiteurs. Et puisqu’une image vaut mille mots  :

Image 1 / Le gigantesque mur en carton de Yu-Cheng CHOU est composé de 272 ballots de carton. Ces ballots seront restitués à l’entreprise qui les commercialise (Paprec), car ce carton compacté est une nouvelle matière première qui va être consommée par des papetiers pour devenir des essuie-tout, du papier journal etc.
Image 2 / Pannaphan YODMANEE crée de grandes installations combinant objets trouvés, éléments naturels et matériaux peints rappelant l’art et l’architecture thaïlandais traditionnels. L’image immortalise le moment où la matière brute n’est pas encore travaillée par l’artiste.
Image 3 / A partir d’un dessin de Stéphane THIDET, l’équipe technique a conçu un terrain en sable blanc de 50 mètres par 50 mètres sur lequel un motard va réaliser une trace en forme de cercle parfait.
Image 4 / Le travail d’Holly HENDRY s’inscrit en dialogue avec l’architecture. Ces ossatures seront bientôt accrochées aux murs et inciteront les visiteurs à considérer la sculpture comme un dialogue avec leur environnement.
Image 5 / Le tunnelier de Sam KEOGH est installé aux Usines Fagor ! Il fait environ 120 tonnes. Pour le déplacer il fallut le diviser en 6 morceaux transportés dans un convoi exceptionnel.

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Laura Geisler Laura Geisler
Attachée de relation avec les publics



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