Nous utilisons des cookies pour améliorer votre navigation sur le site. Merci de cliquer sur "OK" pour donner votre accord.
Vous pouvez changer d'avis en modifiant les paramètres de sécurité de votre navigateur. Pour davantage de détails, consulter ici notre Politique de confidentialité.
OK
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 02/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 30/09/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 02/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 02/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 02/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Fabien BOULAY le 23/09/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 04/10/19
Laura GEISLER le 30/09/19
Stéphane Calais © Stéphane Calais
Stéphane Calais, Le petit jardin, 2018-2019. Courtesy de l’artiste [of the artist]. © Adagp, Paris, 2019. Photo Blandine Soulage
« Je n’envisage les pièces que d’une façon efficace par rapport à mes engagements. Naturellement le dessin, mon outil premier, me permet de naviguer dans les différents champs qu’il traverse : c’est-à-dire tous. Les questions qui se posent ensuite en fonction des médiums utilisés (peinture, dessins muraux, collages d’objets, d’images...) sont des questions classiques, Mais c’est dans leur réunion, leur proximité, que se jouent des tensions, des ellipses ou des raccourcis. »
- Citation de l’artiste extraite de la présentation de son travail dans le cadre de sa nomination au Prix Marcel Duchamp, en 2008.Stéphane Calais suit à la fin des années 1980 des études aux Beaux-arts de Nîmes, puis début 1990 à l’Institut des hautes études en arts plastiques de Paris. Variant les formes, les styles, les thèmes et les références, le travail de Stéphane Calais se laisse difficilement enfermer dans une cohérence esthétique précise et définie. Avec pour seule constante l’interpellation de l’histoire de l’art, ses sculptures, peintures, installations et walldrawings, sont les produits d’une exploration sans cesse renouvelée des propriétés de chaque médium.
S'il revendique le dessin comme étant à l'origine de tout, de l'œuvre, de l'image, de l'organisation du monde comme de sa propre pratique, Stéphane Calais fait feu de tout bois, peinture, sculpture, installation... Dans le paysage artistique, il fait figure de touche-à-tout, puisque à ses yeux, le monde est une "banque", un désordre de signes et d'objets dont il n'a de cesse d'user et d'abuser.
Stéphane Calais
Le petit jardin, 2019
Peinture, carton ondulé et acier
Usines Fagor, Halles 0
Ephémérides, 2019
Techniques mixtes
Halles 1 et 3
œuvre :
Le petit jardin, Halle 0 : Mobile de grande dimension et peintures au sol. Des aplats de couleurs de différents formats se dessinent dans l’espace d’accueil de l’exposition : suspendues au plafond par des fils d’acier, peints au sol et disposés dans l’architecture. Les formes semblent avoir été tracées à main levée par l’artiste. Elles se découvrent dans la grande halle d’entrée en jouant de l’architecture, des mouvements des visiteurs, et de la signalétique au sol.
Ephémérides, Halls 1et 3 : Plusieurs toiles de petits et moyen formats, tendues traditionnellement sur châssis présentent des œuvres abstraites aux couleurs pastels. En halle 3, la toile laissée vierge dessine un cadre autour de l’œuvre peinte. En transparence, le visiteur aperçoit l’architecture de l’usine et les graffitis qui ornent ses murs.
démarche, contexte :
Par ses interventions picturales abstraites et colorées, qui laissent toujours voir l’architecture qui les accueillent, Stéphane Calais réalise des trouées colorées dans le paysage. Les jeux de transparence et de mouvement révèlent et donnent à voir autrement l’environnement qui abrite les œuvres.
Travail sur le paysage.
GS mat et primaire : Techniques / mise en jeu de l’architecture et du regard du visiteur
Collège : Techniques / mise en jeu de l’architecture et du regard du visiteur / Abstraction / 2D-3D /street-art
Lycée : Techniques / mise en jeu de l’architecture et du regard du visiteur / Abstraction / 2D-3D / street art
Tout public : Techniques / mise en jeu de l’architecture et du regard du visiteur / Abstraction / 2D-3D/ street art
Adultes exclusivement : Techniques / mise en jeu de l’architecture et du regard du visiteur/Abstraction / 2D-3D / street art
Un article par Camille Lesaunier, médiatrice @ la Biennale de Lyon
Pour en savoir plus...
https://www.stephanecalais.net/fr/
Laura Geisler
Attachée de relation avec les publics